L’entrée en vigueur de la Constitution de l’Équateur en octobre 2008 pose de nouveaux défis à l’État, car il a désormais l’obligation et le devoir suprême de respecter et de garantir l’exercice des droits humains reconnus constitutionnellement. En plus des droits humains individuels et collectifs, elle reconnaît un nouveau sujet aux droits : la Nature ou Pachamama. Ce geste prometteur ne reflète cependant pas toute la réalité du modèle extractiviste équatorien.
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