Nouvelles de Social Watch

México ha concluido, en plena pandemia, la modernización de su acuerdo de asociación con la UE. Grandes oportunidades ven unos, más de lo mismo ven otros.

Le Forum politique de haut niveau 2020 (FPHN) doit examiner la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le développement durable et les progrès accomplis dans la réalisation des SDG du 7 au 16 juillet 2020. Le Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (DAES) a publié un programme provisoire et une note conceptuelle pour le FPHN 2020.

Un puente aéreo para llevar ayuda humanitaria concerniente a la lucha contra el COVID19. Un paquete de 20 mil millones de euros para ayudar a los países socios que más lo necesiten. Repatriación de medio millón de ciudadanos: éstas son, básicamente, las medidas que se plantean como ayuda inmediata desde Bruselas para países terceros. Van llegando también aportes puntuales de los países como una clínica móvil y equipos médicos de Alemania para Colombia.

La UE prepara un plan de ayuda a sus socios. Pero los fondos de cooperación que pueda poner a disposición no alcanzan en América Latina. La verdadera ayuda pasaría por negociar la deuda, dicen especialistas.

UNITED NATIONS, Apr 23 2020 (IPS) - The UN’s 17 Sustainable Development Goals (SDGs), described as an integral part of its highly-ambitious development agenda, may be in deep trouble.

Aimed at addressing some of the global challenges the world faces– including extreme poverty and hunger, inequalities in incomes and gender, climate change and environmental degradation– the SDGs now seem threatened by a world economy facing a brutal recession.

By Roberto Bissio*

versión en español.

The message could not have been clearer: "There is a very real threat of a rapidly moving, highly lethal pandemic of a respiratory pathogen killing 50 to 80 million people and wiping out nearly 5% of the world’s economy. A global pandemic on that scale would be catastrophic, creating widespread havoc, instability and insecurity.”

El mensaje no pudo haber sido más claro: “Nos enfrentamos a la amenaza muy real de una pandemia fulminante, sumamente mortífera, provocada por un patógeno respiratorio que podría matar de 50 a 80 millones de personas y liquidar casi 5% de la economía mundial. Una pandemia mundial de esa escala sería una catástrofe y desencadenaría caos, inestabilidad e inseguridad generalizadas”.

L'ONU a annoncé le lancement d'un sommet sur les systèmes alimentaires en 2021. Il faut s'en féliciter car le monde a un besoin urgent de systèmes alimentaires plus inclusifs et plus durables pour faire face aux défis du changement climatique. Cependant, le Forum économique mondial, qui représente de puissantes entreprises, est censé de jouer un rôle central dans l'organisation du sommet, en tant que partenaire stratégique des Nations unies. En outre, le secrétaire général des Nations unies a nommé l'actuel président de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) comme envoyé spécial pour le sommet.

Les entreprises de la chaîne alimentaire industrielle mondiale sont, à elles seules, les principaux moteurs de la destruction écologique et de l'augmentation des taux de faim et de malnutrition. Et pourtant, l'ONU se tourne vers elles pour résoudre les crises mondiales ! Les Nations unies devraient plutôt s'appuyer sur les innovations réussies en matière de gouvernance alimentaire démocratique. Celles-ci sont le résultat du travail des organisations de la société civile et des mouvements sociaux représentant les personnes les plus touchées par la faim et la malnutrition.

Apalancando la corrupción.

En el acuerdo de culpabilidad que puso fin oficialmente al mayor caso de corrupción juzgado por los tribunales estadounidenses, la empresa constructora brasileña Odebrecht admitió haber pagado entre 2001 y 2016 “aproximadamente 778 millones de dólares en sobornos, en asociación con más de 100 proyectos en 12 países, incluyendo Angola, Argentina, Brasil, Colombia, República Dominicana, Ecuador, Guatemala, México, Mozambique, Panamá, Perú y Venezuela”.

L'année 2020 commence par des manifestations de masse qui secouent un nombre croissant de pays dans diverses régions du monde. En Équateur, au Chili et en Argentine, en Égypte et au Liban, des millions de personnes descendent dans la rue pour manifester contre les politiques en vigueur. Les protestations reflètent le mécontentement croissant des personnes dans différents pays et régions avec des injustices réelles et perçues, des inégalités croissantes et des ajustements injustes.

Les gouvernements ont surtout réagi par des politiques d'austérité à l'augmentation massive de la dette extérieure et à la détérioration des conditions macroéconomiques. Cela est dû en partie à la pression des marchés financiers, des créanciers et des institutions financières internationales comme le Fonds monétaire international (FMI), qui a couplé l'octroi de prêts pour surmonter les difficultés de paiement avec une réduction des dépenses publiques et des conditions d'ajustement strictes de type austérité.

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